Grey's Anatomy : une tuerie

Fille de Ellis Grey, ancienne chirurgienne reconnue désormais atteinte de la maladie d’Alzheimer, elle tentera de prouver qu’elle n’est pas ici seulement grâce à la réputation. De fait, la série commence en la montrant après une aventure d’un soir, puis en courant vers son travail le premier jour, elle s’aperçoit que son aventure de la veille n’est autre que Derek Shepherd, neurochirurgien résident dans l’hôpital où elle débute.

Elle tentera de repousser ses avances au début mais se laissera vite charmer par la douceur et le romantisme de Derek. Sa meilleure amie Christina, plus charismatique et ne voyant que par sa carrière tombera elle aussi amoureuse du docteur Burke, en quelque sorte son mentor.

La série alterne les histoires personnelles des patients qui sont presque toujours dans un état d’urgence, leur maladie, leur traitement, le stress des médecins qui côtoient la mort au quotidien, leur difficulté à se détacher personnellement de certains patients, leur capacité à être toujours motivés pour sauver d’autre vies même si ils viennent d’en perdre une, leur obligation de gérer des situations d’urgences et de prendre des décisions rapidement. Ce cocktail nous fait vaciller entre admiration, émotion, et parfois nous fait rire, selon les situations.

Le fait que la créatrice Shonda Rhimes l’aide peut-être à trouver toujours la corde sensible pour me faire pleurer devant chaque épisode. Je n’ai pas le sentiment que la série s’épuise pour le moment et je serai heureuse de retrouver nos héros dans quelques semaines